Si vous avez passé la journée dans le rouge

Guerre en Ukraine : le Kremlin affirme que le rapprochement avec les US n'apporte que "des résultats proches de 0" et que la Russie n'a donc "pas d'alternative" à la continuation des combats (voir plus bas)

Ça se complique : LFI, le PS, les Verts et le PC annoncent se joindre à la nouvelle journée de grèves/manifestations le 2 octobre, LFI promet une motion de censure contre Lecornu dès le 1er octobre (voir sujet suivant)

Palestine : Politico rapporte que Trump a promis aux principaux leaders arabes qu'il rencontrait aujourd'hui qu'il ne "laisserait pas Israël annexer la Cisjordanie"

Peut-on encore vraiment tout dire aux US ? Cette semaine, Laurence Nardon fait le point sur l'état de la liberté d'expression dans l'Amérique de de Trump →

T’as une autre idée ?

C’était le grand (seul ?) espoir de Lecornu : se mettre d’accord avec la CFDT (sur une base abandon de l’exigence de suspension de la réforme des retraites contre-mesures sociales/pouvoir d’achat) afin de forcer le PS -- qui aurait eu du mal à se désolidariser de la centrale syndicale -- à soutenir le gouvernement. Sur le papier, ça peut marcher, mais dans les faits... Aujourd’hui, au sortir de sa 2e rencontre avec le PM, l’intersyndicale, par la voix de Marylise Léon (patronne de la CFDT), déplore ...

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Allez comprendre

Que faut-il interpréter du nouveau revirement de Trump sur l’Ukraine ? Côté UE, on y voit la preuve que son engagement à "mettre fin à l’agression de la Russie" est "désormais vraiment fort et significatif". Côté ukrainien, Zelenksy avoue voir été "un peu surpris", même si, forcément un peu échaudé par les volte-faces précédents, il rappelle cet après-midi à l’ONU, que face à la Russie, il n’y a aucune "garantie de sécurité" qui vaille, juste "des amis et des armes".

Et si l'économie se développait… sans nous ?

Avec l’arrivée des agents IA autonomes, une couche économique entièrement pilotée par des IA est en train d’émerger. Ces agents sont capables d’automatiser une diversité de tâches cognitives dans tous les secteurs : finance, industrie, recherche, santé, logistique.

Des chercheurs parlent de "sandbox economy" : un environnement où les agents interagissent entre eux à des vitesses et des échelles impossibles à superviser directement par des humains. S'appuyant sur la blockchain, ces réseaux décentralisés peuvent fonctionner sans intervention humaine, 24 heures sur 24, avec des mécanismes d’autorégulation intégrés.

Selon une étude récente de Capgemini, les agents IA -- semi-autonomes voire complètement autonomes -- réalisent déjà environ 15% des tâches au sein des entreprises et d'ici 2028, ce chiffre montera à 25%. Pour les agents totalement autonomes, leur poids dans la production va même doubler, passant de 2% à 4%.

Mais si ces agents se mettent progressivement à tout faire, que resterait-il pour les humains ? Pas grand-chose, selon l’économiste Pascual Restrepo : si toutes les tâches productives étaient automatisées, le travail humain deviendrait accessoire. Ce ne serait plus les salariés qui créeraient de la valeur, mais la puissance de calcul disponible. Et les revenus reviendraient principalement à ceux qui détiennent les serveurs…

Stellantis : accélérez vers le futur

En matière de mobilité propre, le futur a un nom : l'électrique ... mais aussi un leader : Stellantis. En France, le groupe domine déjà le secteur avec près d'1 véhicule électrique vendu sur 3. Ses forces : une offre complète couvrant tous les usages et budgets (citadines, utilitaires, familiales) avec 42 modèles proposés dès aujourd'hui et jusqu'à 60 d'ici 2030, des véhicules qui ont un impact carbone 2 à 3x inférieur aux thermiques sur tout leur cycle de vie et qui permettent une mobilité jusqu'à 6x moins chère qu’un plein fossile

Passez à la mobilité électrique avec Stellantis →

Une table pour 2 (dont un iPhone)

S’ils peuvent travailler ensemble, les agents IA (cf notre Chronique du Turfu plus haut) sont-ils appelés à développer les affinités ou inimitiés que nous avons pour nos collègues ? L’avenir nous le dira… mais pour ce qui est de nos sentiments à l’égard des IA, le mal (le bien ?) est déjà fait. Selon une étude du MIT publiée cet été, 20% des Américains ont déjà développé une relation amoureuse avec une IA. Ce soir, on invite notre téléphone à prendre un verre…

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