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Si vous avez passé la journée à BruxellesCensées se conclure aujourd'hui avec un accord, les discussions sur le nucléaire iranien sont finalement prolongées jusqu'à vendredi – Mali : Ali Ag Wadossene, l'un des principaux responsables d’al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), tué par l'armée française – 150 détonateurs, des pains de plastic et une quarantaine de grenades volés sur un site militaire sécurisé à Miramas (Bouches-du-Rhône). |
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La Grèce joue son va-toutAlors qu'il était attendu par l'Eurogroupe (= les ministres des Finances de la Zone Euro) avec de nouvelles propositions, le (nouveau) ministre des Finances grec est arrivé les mains dans les poches. Rien d'écrit. Rien de précis. Provocation varoufakienne ? Non : tactique de Tsipras qui ne veut aucune discussion technique tant qu'il n'a pas obtenu d'accord des chefs d'Etat (Merkel/Hollande) sur la réduction de la dette. Coup de poker. |
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Sorry Mr President, we don't agreeS'exprimant sur l'EI hier, Obama promet l'intensification des frappes sur l'EI, mais 1) ne parle d'aucun autre théâtre d'intervention que la Syrie, 2) prévient que la campagne sera longue et qu'il faudra être patients… Or, aujourd'hui, l'EI publie des photos du port de Syrte (en Libye, à 600 km des côtes de la Sicile) dont il annonce la conquête. Mr President, with all due respect, nous pensons que vous faites erreur sur le lieu et sur l'urgence. |
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Et si on traitait la Grèce comme une entreprise ?Challenges révèle que c'est le scénario "créatif" sur lequel planchent les équipes de Macron. L'idée – proposée à l'origine par un prof d’éco à l’université de Toulouse, "proche conseiller de Syriza", un avocat spécialiste en restructuration d’entreprises, et un chercheur du CNRS – est la suivante : Au lieu d'annuler une partie de la dette grecque (insoutenable), on la transforme en totalité en "certificats d'investissement", les créanciers de la Grèce devenant alors des (ses) investisseurs. N'ayant plus de créanciers (mais des "actionnaires"), ni de dettes, Athènes peut consacrer l'argent qu'elle mobilise pour rembourser ses prêts à des investissements productifs de nature à relancer son économie. 15 à 20Mds€ pourraient être ainsi libérés pour être injectés dans l'économie grecque. 15 à 20Mds, c'est beaucoup ? C'est environ 10% du PIB grec, c'est donc énorme et c'est effectivement, potentiellement, de quoi créer l’électrochoc dont a besoin le pays pour sortir de la spirale déflationniste dans laquelle il se noie. Une des idées les plus séduisantes que nous ayons entendues sur ce dossier. |
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La Q de la semaineSachant que 48% d'entre vous disent être émoustillés/ées par la chaleur, l'été est manifestement une saison de bonnes dispositions érotiques de votre part. Mais votre attitude positive sera-t-elle partagée ? En d'autres termes, on voulait vous demander : Pensez-vous que votre été sera chaud ? |
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