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Si vous avez passé la journée à la source

Le Conseil d'Etat refuse de suspendre l'usage des lanceurs de balles de défense (flashballs) dans les manifestations - Prélèvement à la source : Darmanin se réjouit d'une mise en place sans "bug" : "100% des pensions de retraites des indemnités chômage, des salaires du privé et de la fonction publique" ont été "prélevés" - L'Elysée prévient que Darmanin ne pourra pas cumuler son poste de Ministre avec celui de Maire de Tourcoing (comme il l'envisageait) "conformément à la doctrine établie en début du quinquennat".

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Nonobstant notre 2 Do

… Nous profiterons de ce week-end pour relire l'édition de mercredi de la lettre de Marc Fiorentino. Elle nous a semblé remarquable. Marc y émet l'hypothèse que nous sommes à un "tournant économique mondial". Son point : "les effets de la relance de Trump sur l'économie US et l'économie mondiale en général s'estompent. La parenthèse se referme, doucement (...) les signes de ralentissement se multiplient. En Chine ou encore en Europe"

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Le Fiorentino de la semaine (suite) : Slowbalisation

Le terme est utilisé par The Economist et c'est l'autre tendance de fond de l'économie mondiale : la fin de l'âge d'or de la globalisation. En 2018, pour la première fois depuis son apogée en 2008, la part du commerce international dans le PIB mondial a reculé, même chose pour les investissements des boîtes à l'étranger. Le moteur de la croissance mondiale des 30 dernières années, la globalisation, passe sur slow.

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La 2 Do du week end

Ce week-end, on va faire deux trucs. A la maison.

Oui, samedi soir nous resterons à la maison. En nous en voulant énormément. Nous venons de découvrir (en préparant cette 2 Do) que demain, au Trianon, Death Cab For Cutie était en concert. C'est évidemment complet et nous sommes furieux de notre imprévoyance. Comme nous vous l'avons dit, Death Cab For Cutie a sorti un de nos 3 albums favoris de 2018 : Thank You For Today, une musique que nous qualifiions alors de -- à la fois -- "somptueuse, modeste et amicale". Samedi soir, c'est donc assez amers que nous nous repasserons cet album. Nous ne doutons pas que dès la première (ré)écoute, Summer Years -- notre morceau préféré -- nous ramène à des sentiments plus harmonieux. Un bonheur tranquille est même parfaitement envisageable.

Dimanche c'est toujours du confort de notre salon (lit ?) que nous ouvrirons l'édition de cette semaine du Point. Ce que nous y lirons ? Le premier chapitre du livre à venir de Gaspard Koenig sur l'Intelligence Artificielle. Pour l'écrire Gaspard a été partout où le futur (pas forcément rose) de l'humanité s'écrit/se code : dans la Valley, en Israël, en Chine, ... (... et, non, pas dans l'UE !). Pour en avoir discuté avec lui, nous savons qu'il a rencontré ce gotha de l'IA auquel personne n'a accès et qui pourtant a pour projet concret de nous faire nous passer de notre libre-arbitre. Son récit -- c'est certain -- va nous secouer, d'intérêt bien sûr, de tremblements et de vertiges, c'est à craindre... mais aussi, nous connaissons Gaspard, parfois, de rire. Un excellent Point.

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C'est vendredi et vous l'avez bien mérité

Le 31 janvier 1969 sortait La Piscine, un film que son scénario, usé, prévisible et scolaire, aurait dû expédier immédiatement aux oubliettes… sauf que, sauf que : Romy, Alain, Maurice et Jane. Tous les 4 à des niveaux de beauté et de distillation sexuelle tels que, 50 ans plus tard -- jour pour jour (+1) -- ils constituent encore un spectacle d'une puissance un peu au-delà "d'adulte", voire "d'humaine". Ce soir, testez (une nouvelle fois) vos capacités de résistance & Enjoy ;)

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La bande son du week-end : Lou Doillon - Soliloquy

Au rang des dons merveilleux de Jane Birkin à l'humanité, la grâce de ses 23 ans (son âge lors du tournage de La Piscine) est loin d'être un exemple unique. Une liste exhaustive devrait bien entendu inclure ses 3 filles, douées au point -- parfois -- du tragique. Une mention spéciale devant être réservée à la voix -- et à la qualité de tristesse -- de Lou Doillon. Toutes les deux magnifiquement démontrées par l'album sorti aujourd'hui de cette héritière fascinante.

A écouter sur Deezer ici ou sur Spotify là 

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