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Météo de l'étéLa Banque de France (BdF) annonce ce matin qu'elle revoit à la baisse le chiffre de croissance française pour le 2e trimestre (+0,2% vs +0,3% précédemment) et ce en raison d'une baisse "significative" de la production industrielle en juin. L'été sera meilleur ? Pas sûr, selon ViaVoice qui publiait aujourd'hui son indice du moral des décideurs et pointait "un net coup d’arrêt" dans la remontée des anticipations des patrons en juillet. Ça se couvre. |
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Pire que la Deutsche Bank… qui s'apprête à supprimer 20% de ses emplois (soit 18 000 sur 90 000, une restructuration à 7Mds€), le journal L'Humanité annonce aujourd'hui qu'il va se séparer de 25% de ses collaborateurs (41 postes sur 157), afin d'économiser 2M€/an (les pertes de l'Huma s'élèvent à 1,5M€ en 2018). Dans les deux cas la fin d'un rêve (le triomphe d'une mega banque de marchés européenne concurrente des établissements US / l'édification du communisme) |
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L'Iran : LA faillite européenneQuelle ironie ! L'Europe est en passe de devenir l'ennemie désignée de l'Iran. Aujourd'hui Téhéran prévient que si Paris, Londres et Berlin devaient "se comporter de manière étrange et inattendue (face à la reprise de l'enrichissement d'uranium par l'Iran) alors nous sauterions toutes les étapes suivantes et nous mettrions en œuvre la dernière" (sans dire en quoi elle consiste, la bombe ?). Opposés à la décision trumpienne, en mai 2018, de dénoncer le deal nucléaire iranien de 2015, les pays européens ont été incapables de tenir leur promesse de continuer à commercer avec l'Iran, malgré les sanctions US. La raison : l'"extraterritorialité" du droit américain qui menace toute entreprise, quelle que soit sa nationalité, qui contournerait les sanctions US, de rétorsions économiques (perte de l'accès au marché US et/ou amende style BNP : 9Mds$). Sur la scène internationale, il n'y a qu'un seul pays souverain : les Etats-Unis. La domination économique et militaire des US fait que non seulement personne ne peut contester ses décisions -- aussi irrationnelles soient-elles -- mais tout le monde (occidental) doit lui emboîter le pas. LA faillite européenne. |
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VyleesiNon, ce n'est pas le nom d'une héroïne de Game Of Thrones (qui nous aurait échappé) mais celui d'un médicament booster de libido (= un viagra) pour les femmes dont la commercialisation vient d'être approuvée aux US. Tentée ? Sachez que 1) le médicament s'administre par auto-injection dans l'abdomen ou dans la cuisse "shortly before sex"...on a connu des préliminaires plus sympas, 2) les tests cliniques ont révélé que 40% des utilisatrices ont souffert de nausées... |
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