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Si vous avez passé la journée à réviser

Jean-Marie Le Pen : la porte-parole du gouvernement condamne les scènes de liesse observées hier et cite JMLP himself (lors de la mort de Chirac) "mort, même l’ennemi a droit au respect"

Tech : Jean-Noël Barrot (min. Aff. Etr.) déclare que si la Commission européenne "n'exerce pas ses compétences avec fermeté" pour protéger le débat public en ligne, "elle devra laisser la liberté aux États (...) de prendre des mesures nationales" (voir sujet suivant)

US : Politico révèle qu'Eric Zemmour et Sarah Knafo ont été invités à l'investiture de Trump mais pas Marine Le Pen pour le moment

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Passé un peu inaperçu hier …

… l’annonce par Zuckerberg de l’abandon par Meta (Facebook) du fact-checking -- réputé biaisé à gauche -- pour adopter un système de simples commentaires des abonnés -- à la X (ex-Twitter, propriété de Musk) -- est en réalité immensément significative de l’alignement de toute la tech US derrière Trump. L’objectif : que Trump mène ensuite l'offensive pour obliger l'UE à abandonner ses enquêtes/amendes/lois limitant l’activité des géants du numérique US et en particulier dans le domaine de l’Intelligence Artificielle…

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Se rend-on bien compte ?

Répondant à Justin Trudeau (PM canadien ayant démissionné lundi) qu’il n’y a pas "l’ombre d’une chance" pour que le Canada devienne le 51e état US, Musk écrit aujourd’hui sur X : "Ma belle, tu n'es plus gouverneur du Canada, donc on s’en fout de ce que tu dis". Wow. En trois jours, Trump -- avec ses revendications territoriales (Canada, Panama, Groenland) -- et Musk -- avec ses interventions directes dans les débats politiques de pays étrangers alliés (Allemagne, UK, ... ) -- explosent totalement...

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Pour ou contre le coup de RABO ?

"RABO" ? Restrictions budgétaires généralisées ? Non, bien sûr : "Retours Au Bureau Obligatoires". Car après le boom post-pandémique du télétravail, nombre d’entreprises, comme Amazon ou Google, ont sifflé la fin de la récré, invoquant souvent le besoin de préserver leur culture d’entreprise.  

Dans deux études (ici et ici), un groupe de chercheurs américains a analysé l’effet de ces restrictions (partielles ou totales) du télétravail. Ils observent, d’abord, que parmi les 500 de l’indice S&P, les 134 entreprises concernées sont plutôt celles dont la performance faiblit… et dont les PDG sont des hommes surpayés ! Apparemment, ceux-ci manient le RABO pour "réaffirmer leur contrôle sur les employés et en faire les boucs émissaires de la sous-performance".

Avec quels résultats ? Le retour au bureau ne produit pas de changements significatifs de rentabilité ni de valeur boursière. Et après un an, le turnover des salariés grimpe, notamment parmi les femmes et les postes les plus qualifiés ; et les postes vacants mettent plus longtemps à être pourvus. Ce qui ressemble à une "fuite des cerveaux" vers les employeurs plus flexibles.

Au lieu de RABOter, mieux vaudrait donc remettre en question l’obsession du "présentéisme" ... et mieux manager ses équipes, où qu’elles soient !

Tous les mercredis, Olivier Sibony (prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.

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En collaboration commerciale avec Coffignon

COF-FI-GNON

Depuis 1928, ces trois syllabes sont celles d’un pouvoir et d’une séduction qui ne ressemblent à aucun autre. Opticien et lunetier à Paris, COFFIGNON a habillé – sur mesure – les regards du Général de Gaulle, de François Mitterrand, de Brigitte Bardot ou de Johnny. Chaque paire de lunettes est réalisée dans les matériaux les plus nobles et exprime la singularité de son/sa propriétaire. Des lunettes qui sont enfin ce qu’elles devraient être : un objet précieux, unique et durable. En trois syllabes.

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Notre contribution au Sibony : back to your desk !

Selon un sondage effectué en 2022 par un groupe pharma UK, le télétravail a permis à 14% des salariés UK de s’adonner à un plaisir solitaire entre 2 Zoom menés sur le canapé du salon. L’étude va même jusqu’à calculer que, compte tenu des moyennes de salaires et de temps dédié à l’auto-érotisme (37 minutes !!!), cela équivaut à être payé près de 150 euros par semaine pour se masturber ! On comprend qu’il soit difficile de nous faire revenir au bureau…

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