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Si vous avez passé la journée au calmeUE : pour son 1er discours post investiture de Trump, Von der Leyen (Commission Européenne) déclare que "l'ordre mondial coopératif que nous imaginions il y a 25 ans n'est pas devenu réalité. Au contraire, nous sommes entrés dans une nouvelle ère de concurrence géostratégique acharnée" Gaza : le Hamas confirme la libération de 4 otages israéliennes ce samedi (en échange Israël devra libérer près d'une centaine de prisonniers palestiniens) Groenland : les Républicains déposent un projet de loi d'annexion du Groenland à la Chambre de Représentants US, le Premier ministre local répond que "l’avenir du Groenland doit être décidé au Groenland" |
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Que n’a-t-elle pas dit !Ce matin, la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet déclare envisager de mettre à contribution "40% des retraités" (= les plus aisés) pour financer la sécurité sociale et le grand âge. EN-FIN un rééquilibrage n’aggravant pas le sort des actifs et le coût du travail, mais demandant un effort à une population systématiquement exonérée et relativement privilégiée. Le résultat ne s’est pas fait attendre : Matignon dément tout projet dans ce sens, et le cabinet de la ministre doit communiquer -- penaud --… |
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La réponseCe qu’annonce Von der Leyen aujourd'hui : 1) un plan sur 5 ans présenté par Mario Draghi d’ici février contenant 3 points : productivité grâce à l'innovation, plan commun pour la compétitivité et la décarbonation et simplification des compétences et règles UE. 2) "Pragmatisme" face à Trump sachant que "personne n'a intérêt à ce que les liens de l'économie mondiale soient rompus". 3) Diversification des partenariats commerciaux de l’UE dans le monde (grosse allusion au Mercosur bloqué par la France) |
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CalmosEn signant 26 "executive orders" le soir même de son investiture (= bien plus que l’ensemble cumulé de ses prédécesseurs depuis 40 ans), Trump a voulu s’attaquer sans attendre à son nouveau projet : "la restauration complète de l’Amérique". Objectif : montrer qu'il décide seul (les executive orders permettent de contourner le Congrès) et que, contrairement à 2017 où sa victoire surprise et sa méconnaissance des institutions avaient ralenti son action, cette fois il est prêt. Mais, comme le relève le Washington Post, "les décrets présidentiels sont la partie la plus facile" car ce sont majoritairement "des déclarations d’action et d’intention". Et surtout, une partie des actes signés hier dépassent largement les pouvoirs attribués au Président et pourront donc être cassés par les tribunaux (les premiers recours ont déjà été déposés) ou ne seront tout simplement jamais appliqués. Exemple le plus marquant : l’annonce de la fin du droit du sol pour les migrants. Elle va à l’encontre du 14e Amendement ... et pour le modifier, Trump devra obtenir une majorité des 2/3 au Sénat et à la Chambre des Représentants puis attendre que 38 états sur 50 ratifient le texte. Autrement plus complexe
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Syntec Conseil : IA, patient zéroPour passer de l'expérimentation au déploiement de l'Intelligence Artificielle, du potentiel à sa réalisation, quel chemin emprunter ? Pour répondre à cette question qui se pose, non sans doutes ni appréhension dans les entreprises, les sociétés de conseil se sont administré à elles-mêmes la potion de l'IA... et en ont consigné les enseignements dans le Manifeste de Syntec Conseil consacré à son utilisation responsable. |
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La Q de la semaineDonc hier, lors de son discours d’inauguration, Trump annonce qu'"à partir d’aujourd’hui la politique officielle du gouvernement américain est qu’il n’existe que deux genres : mâle et femelle". "Dites ça en France vous terminez au pilori médiatique" déclare Pascal Praud ce matin déplorant la "trouille" qui paralyse nos politiques. Mais à vous qui n’avez peur de rien ni de personne, on voudrait demander : pensez-vous qu’il n’existe que deux genres (homme/femme) ? |
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