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Si vous avez passé la journée au Congrès

  • Coronavirus : l'OMS affirme qu'il n'y a pour le moment "aucune thérapie efficace contre le virus", Agnès Buzyn (Min. Santé) annonce que les 6 cas hospitalisés en France sont dans "un état stable" 
  • Seule femme à diriger une boite du CAC40, Isabelle Kocher ne devrait pas être reconduite demain (jeudi) dans ses fonctions de Directrice Générale d'Engie lors d'un conseil d'administration extraordinaire
  • Le ministère du Commerce US annonce que le déficit commercial des US a diminué en 2019 (-1,7%), une première depuis 2013 grâce notamment à une forte baisse des importations venues de Chine (-18%)
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Europe 2.0 : c'est parti

Macron avait lancé le débat en déclarant à The Economist que la sacro-sainte règle des 3% de déficit budgétaire était "d'un autre siècle". Aujourd'hui, l'UE débute ses réunions sur une réforme du pacte de stabilité et de son socle de "vertu" économique : la règle des 3% + celle de la dette publique max à 60% du PIB (la moyenne effective en Zone Euro est 85%). Le processus s'étalera jusqu'à la fin 2020 et impliquera BCE, parlements nationaux, organisations syndicales et think tanks

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"Président des riches"

C'est l'étiquette qui colle à Macron et l'étude que publie aujourd'hui l'OFCE (labo économique keynesien mais pas France Insoumise) risque de la renforcer. En étudiant l'impact des mesures fiscales et sociales du gouvernement (17Mds€ distribués aux ménages depuis le début du quinquennat), l'OFCE identifie une volonté claire : "donner du pouvoir d’achat aux actifs". Rien de mal à ça bien sûr, mais, concrètement, selon l'OFCE voilà comment ça devrait se traduire...

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30 second MBA : Tirez les leçons de vos erreurs, pas de vos biais

Depuis 12 ans, 2 800 directeurs financiers de sociétés américaines jouent à un jeu : prévoir l’indice S&P 500 à un an. L’exercice montre qu’ils se surestiment beaucoup. On leur demande en effet un intervalle de confiance à 80% ("je suis sûr à 80% que l’indice sera entre X et Y"). Or la bonne réponse ne s’y trouve que dans 31% des cas. C’est le biais de surprécision (une forme d’excès de confiance) : comme nous tous, les CFOs sont trop confiants dans la précision de leurs jugements.

Les auteurs de l’étude viennent de publier une mise à jour. Leur question : ayant constaté (parfois 10 années de suite) que leurs intervalles de confiance sont trop étroits, les CFOs recalibrent-ils leurs prévisions en donnant des intervalles plus larges ? Réponse : un peu… mais environ quatre fois moins qu’il ne faudrait ; et de moins en moins avec chaque erreur successive ! Bref, ils restent indécrottablement surconfiants

L’exemple illustre une idée capitale : on apprend de ses erreurs, bien sûr... mais les biais cognitifs ne sont pas de simples erreurs ! On peut les corriger avec de la méthode et avec l’aide des autres. Mais pas tout seuls. Même avec du feedback.

Tous les mercredis, Olivier Sibony (ex-senior partner chez McKinsey, prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.

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Malakoff Humanis : faites le diag

En 2020, Malakoff Humanis lance le "Diagnostic du Capital Humain", une démarche d'accompagnement personnalisée qui permet aux dirigeants d'entreprise et aux DRH de comprendre, d'analyser et d'agir sur les problématiques liées à l'absentéisme, la santé et la qualité de vie au travail et aux fragilités des salariés. Chez Malakoff Humanis, être le n°1 de la santé et de la prévoyance collectives, a forgé une conviction fondamentale : 

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N'en déplaise à l'ami Sibo

... contrairement à ce que semble prouver le 30 Second MBA du jour (cf plus haut), il est des domaines dans lesquels nos appréciations sont exactes… et c'est le cas de notre évaluation du niveau de plaisir réel éprouvé par nos partenaires sexuels. Parfaitement ! Selon un étude parue dans la revue scientifique Archives of Sexual Behavior, rien ne sert de simuler ! Les femmes estiment quasi exactement le plaisir ressenti de leur camarade de jeux, et les hommes sont presque aussi précis... 

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