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Si vous avez passé la journée à y croire
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Réjouissons-nousRefermons donc cette semaine sur un motif de réjouissance : l’arbitrage qu’a fait hier la France de maintenir les écoles ouvertes (là où nos voisins -- Allemagne, UK, Pays-Bas, Italie -- ont tous opté pour une fermeture). C’est assurément une bonne nouvelle pour l’économie : selon les estimations de la Banque de France, l’impact d’un couvre-feu généralisé à 18h, c’est -7% d’activité en moins. Si les écoles venaient à fermer (en plus du couvre-feu), ce serait -12%. Loin d’être anodin. |
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Le Fiorentino de la semaine : Bravo à la French Tech"En une des Échos, les records de levées de la French Tech en 2020. 5,4 milliards levés en 2020, on fait même mieux que l'Allemagne. Avec une explosion des levées de plus de 100 millions. On ne peut qu'applaudir en regrettant néanmoins qu'on ne raisonne qu'en termes de levées mais toujours pas en termes de chiffre d'affaires et encore moins en termes de rentabilité. Ok boomer!" |
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La 2 Do du week-endCe week-end on va faire deux trucs. Sur Arte. Nous vous l’avons déjà confessé, le site d’Arte a été notre grande découverte du confinement… ce week-end il nous semblera opportun de nous y replonger. Nous commencerons – samedi après-midi -- par le visionnage de l’épisode de la remarquable série "Quand l’histoire fait dates" consacré à la peste noire (1347 – 1352… un tiers de la population européenne éradiquée. Pas exactement une grippette). Nous avons déjà vu plusieurs autres éditions de cette mini-série et savons que ces 25 minutes (vive les formats courts et dynamiques !) passées en compagnie de l’historien Patrick Boucheron, professeur au Collège de France et formidable conteur/pédagogue, seront une nouvelle fois aussi instructives que distrayantes (presque jubilatoires même car très bien servies par une production intelligente et inventive). Il est fort possible qu’elles soient même d’une pertinente actualité. Si sensibles que nous soyons au charme de Patrick Boucheron, il est assez vraisemblable que notre humeur et nos ambitions pour notre soirée de samedi soir soient d’une sensualité qui n’est pas précisément la spécialité (professionnelle) des grands universitaires français. Aussi, la nuit tombée, c’est du lit conjugal que nous lancerons le documentaire qu’Arte consacre à Bryan Ferry ("Don’t Stop The Music"). Le niveau de sexy de cet homme – et de son œuvre ! – nous rend assez confiants sur le fait que ce samedi soir soit très feu tout en étant très peu couvert. |
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C’est vendredi et vous l’avez bien méritéOui, après ce qui n’est que la seconde semaine d’un mois de janvier qui s’annonce à tous égards redoutable (à l’image, on peut le craindre, de l’année qu’il inaugure), vous avez bien mérité cette petite séquence qui nous rappelle à tous que, malgré tout, les heures de couvre-feu peuvent être utilisées utilement. Même en l’absence de Bryan Ferry dans votre lit. Enjoy ; |
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La bande son du week-end : Barry Gibb - GreenfieldsSommes-nous sûrs d’avoir suffisamment réalisé que les Bee Gees comptent parmi les compositeurs les plus importants du XXe siècle ? Honnêtement, nous n’en jurerions pas. Aussi, écouter ce disque sur lequel Barry Gibb (seul survivant de la fratrie) reprend les plus grandes chansons du groupe en compagnie de voix invitées (Dolly Parton, Sheryl Crow, Olivia Newton-John, …) et dans un esprit country-symphonique, est très utile. Et somptueux au-delà des mots. A écouter sur Deezer ici ou sur Spotify là |
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