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Si vous avez passé la journée à pointUkraine : une source militaire ukrainienne citée par l'AFP affirme que sans les armes US, l'Ukraine aura "aura du mal" à combattre, le Kremlin confirme en déclarant que "moins d'armes (américaines) pour l'Ukraine rapprochent la fin du conflit" (voir sujet suivant) Gaza : Israël affirme qu'il y a des "signes positifs" en faveur d'un accord de cessez-le-feu et de libération des otages, le Hamas affirme être prêt à "accepter n'importe quelle initiative qui mène à l'arrêt complet de la guerre" Justice : le chanteur P. Diddy reconnu non coupable des charges de "trafic sexuel" et "association de malfaiteurs" (il risque encore 20 ans de prison max pour "transport à des fins de prostitution") |
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Ça va dans le bon sensEn Iran, le "scénario du pire" (dixit Macron) se met doucement en place : Téhéran déclare suspendre sa coopération avec l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) qui inspectait les stocks d’uranium enrichi iraniens. Or, sans contrôles, impossible d’estimer l’état de la menace nucléaire. Parallèlement, les US – officiellement faute de stocks – annoncent cesser leurs livraisons de plusieurs armes stratégiques à l’Ukraine, principalement de missiles anti-aériens…
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On gèleCe matin sur Inter, Dominique Seux rappelait que dans la "foire à la saucisse" budgétaire actuelle, le gel "pendant un an des pensions, des prestations sociales, …" (= année blanche) était "le scénario le plus stupide – puisque c’est un tir tous azimuts, sans vrai choix" … mais aussi "le plus malin car tout le monde est mécontent – mais moyennement mécontent". Un constat visiblement partagé par Amélie de Montchalin (min. Budget) qui révèle aujourd’hui qu’il y a aura bien "une pause sur certaines dépenses" en 2026.
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La peur de ChatGPT grille-t-elle notre cerveau ?Nouvelle de la semaine : une "étude du MIT" démontre scientifiquement la nocivité de l’IA. "ChatGPT rend c**", tonne par exemple TTSO tandis que Gaspard Koenig souligne, lui, la "perte massive de capacités cognitives". C’est l’occasion de rappeler que dans toute étude, qu’il s’agisse de neurosciences ou… de management, on gagne à vérifier : 1. La source. Ici, des auteurs respectables, mais un "preprint" (non publié). Donc, prudence. 2. La taille d’échantillon. 54 sujets, c’est peu pour annoncer la fin de l’humanité. Les auteurs soulignent eux-mêmes (p. 141) que la conclusion principale annoncée par le titre de l’étude ne peut pas être établie, faute d’un échantillon suffisant ! 3. La méthode. Ici, des étudiants font un devoir avec ou sans ChatGPT. Résultat : ceux qui délèguent à ChatGPT font moins travailler leurs neurones et retiennent moins de choses que ceux qui ont travaillé par eux-mêmes. Quelle surprise ! De là à conclure que leurs capacités intellectuelles sont définitivement atrophiées… 4. Nos propres biais… Quand une étude semble confirmer ce que vous pensez (et moi aussi) sur les dangers de l’IA dans l’enseignement, redoublez de prudence. Bref, ChatGPT anéantira peut-être notre cerveau, mais ce n’est pas démontré… En attendant, exerçons notre esprit critique ! Un mercredi sur deux, Olivier Sibony (prof de stratégie à HEC Paris, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t. |
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Un milliard... c’est le nombre d’entre nous à être atteints d’une maladie neurologique ou psychiatrique soit une personne sur 8 dans le monde. Maladies du grand âge (une petite fille sur deux qui naît aujourd’hui sera centenaire), mais aussi des autres stades de la vie (l'âge moyen du début des symptômes de la sclérose en plaques est 30 ans), progresser dans le traitement des affections du système nerveux est une urgence mondiale pour laquelle la France s’est dotée d’un instrument sans équivalent : l’Institut du Cerveau. |
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Ça nous a fait tout drôleLe site du Grand Continent nous apprend qu’à partir d’aujourd’hui (mercredi 2 juillet 2025) l’humanité est plus proche de 2050 que de l’an 2000. Dingue, non ? Surtout lorsqu’on voit ce qui s’est passé en 25 ans. Quelques exemples : en 2000, 7 % de la population mondiale utilisait Internet, c’est 67% aujourd’hui ; le PIB de la Chine était inférieur à celui de l’Allemagne, aujourd’hui il est près de 5x supérieur ; le trafic aérien a plus que doublé. Vivement la suite !
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