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Si vous avez passé la journée sur la routeUkraine : l'UE adopte une 18e vague de sanctions "sans précédent" contre la Russie en abaissant notamment à 47,6$ le prix maximum auquel Moscou peut vendre son baril de pétrole (vs 60$ actuellement) Ecologie : la pétition déposée sur le site de l'Assemblée nationale contre la loi Duplomb qui réautorise l'utilisation d'un néonicotinoïde dépasse les 215 000 signatures (à 500 000, les députés peuvent organiser un débat en séance publique) Addition salée : dans une décision rare, l'Autorité des Marché Financiers oblige Vincent Bolloré à racheter l'intégralité des actions Vivendi (il en possède aujourd'hui 30%, racheter les 70% restants devrait lui coûter environ 3,6Mds€) |
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La pression monteTrump a beau démentir avoir écrit en 2003 une lettre salace à Jeffrey Epstein (milliardaire condamné pour pédocriminalité), les Américains ne semblent pas prêts du tout à enterrer l’affaire : 79% (et même 75% des électeurs républicains) réclament que l’administration US "publie tous les documents qu’elle détient" et, alors même que Trump se pose en pourfendeur du Deep State, 69% (62% des Républicains) affirment que "le gouvernement cache ce qu’il sait sur la liste (présumée) des clients d’Epstein".
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Le Fiorentino de la semaine : Vendre ? Oui mais quoi ?"L’État détient près de 200Mds€ de participations dans 82 entreprises, dont Airbus, Safran ou Thales. François Bayrou a évoqué la vente d’une partie de ces actions pour financer la recherche. Si Bercy confirme qu’aucune décision n’est arrêtée, la hausse récente des valeurs de défense rend certaines cessions très tentantes. Mais attention aux calculs de court terme : vendre des actifs stratégiques et rentables pourrait être une erreur financière et politique. |
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Elle est làQui donc ? Mais la TTSO Summer Soundtrack édition 2025 ! 2 heures et 31 minutes composées des 37 chansons que nous avons préférées dans nos recommandations musicales depuis septembre (aka les "bandes son du week-end"). Comme chaque année, c'est avec une immense excitation -- et une appréhension d’égale ampleur -- que nous vous soumettons cette sélection. Comme chaque année, nous nous y livrons totalement : notre amour du dancefloor, notre attirance douloureuse pour la tristesse, l’éclat de nos joies… et cette petite dose de révolte intime dont, 240 soirs par an, nous n'osons parler qu'à vous seul/e. Bref, c'est éclectique, totalement sincère, et -- on l'espère -- pas dénué de toute élégance. Comme nous nous efforçons de l'être tous les soirs. Et, comme tous les soirs, on vous laisse juger du résultat. Sur Deezer, sur Spotify ou sur YouTube (pour les autres plateformes, utilisez simplement cet outil génial). |
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Le dico de la stagiaireCet été, TTSO a demandé à la stagiaire de lui expliquer "les expressions de jeunes", histoire de pouvoir dialoguer avec nos enfants pendant les vacances. On vous en présente une par jour, aujourd’hui… "Slay". Directement importé de l’anglais (to slay = occire), "slay" s’impose chaque fois que vous voudrez signifier à votre enfant qu’il/elle a cartonné. Par exemple : "tu as slay Parcoursup" ou -- plus vraisemblable -- alors qu’il/elle s’apprête à partir pour "la boulangerie" (cf le Dico de la stagiaire hier) -- "wow, tu as slay ton OOTD* " ou écriez-vous simplement "slaaaaaaayyyyyy". Contrairement à l’évocation de son bac, ça devrait vous valoir un sourire… |
| * OOTD = Outfit Of The Day = tenue (vestimentaire). Autre idiome ado |
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