Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !
Si vous avez passé la journée en terrasse
|
|
|
Déconfinement : le plan de MacronLes choses commencent à se dessiner. Ce que veut le Président c'est un déconfinement "déconcentré", entendez : un plan global dessiné par Matignon mais piloté localement par les maires et les préfets. Entendez (bis) : des traitements différenciés entre les départements peu/pas touchés (ou restaurants et commerces pourraient rouvrir plus vite) et les zones plus affectées. Corollaire de ces différences locales : la nécessité d'éviter le "brassage des populations" |
|
|
Mais en vrai…La date fatidique -- et scientifique ! -- du déconfinement, ça n'est pas le 11 mai (une date "politique" arrêtée par le Président seul) c'est début juin. C'est à ce moment-là qu'on saura si l'épidémie est repartie... et l'incertitude règne à ce point qu'aujourd'hui la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye admet que la stratégie du stop & go (alterner les phases de confinement et déconfinement) "fait partie des hypothèses". Ça va être simple d'organiser la reprise... |
|
|
|
|
30 second MBA : Pourquoi on ne teste pas tout le monde aux anticorps du coronavirus ?En théorie, des tests sérologiques permettent de savoir qui a déjà été exposé au coronavirus. Pourquoi, alors, ne pas en faire à tout le monde ? Parce qu’on n’a pas assez de tests, bien sûr… mais aussi pour une autre raison, que tous les managers devraient connaître : le théorème de Bayes. Supposons qu’on dispose d’un test sérologique fiable à 95% dans les deux sens : 95% des personnes qui ont été exposées au virus testent positives aux anticorps ; 95% de celles qui ne l’ont pas été testent négatives. Intuitivement, ça semble largement suffisant ! Mais calculons ensemble. Avec 5% de positifs dans la population, sur 10 000 personnes, il y a 500 positifs. Parmi eux, 475 (95%) sont dûment repérés par le test. Mais la population comprend aussi 9 500 négatifs, dont 5% (475) vont être des "faux positifs". Résultat : si vous testez positif, il n’y a qu’une chance sur deux que vous le soyez réellement ! Les tests aujourd’hui disponibles sont plus fiables que ça, mais pour l’instant pas assez pour changer la conclusion : au niveau actuel de prévalence, "tester toute la population n’aurait aucun sens", comme le disait Macron. Heureusement qu’il n’a pas rappelé le nom du théorème… Tous les mercredis, Olivier Sibony (ex-senior partner chez McKinsey, prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t. |
|
|
|
|
CORUM L’Épargne : parlons… épargne !Les SCPI ont fait leurs preuves en temps de crise. En 2008, le CAC 40 avait connu une perte record de 42%. La même année, les SCPI, reposant sur des actifs immobiliers bien réels, offraient un rendement de 5,84%. Aujourd’hui, parmi les SCPI, celles de CORUM L’Épargne se distinguent par leur diversité géographique et sectorielle autant que par les innovations proposées aux épargnants (dividende potentiel versé mensuellement, Plan d’Épargne Immobilier*…). Il ne reste plus qu’à faire votre choix… Acheter des parts de SCPI est un investissement immobilier long terme dont la liquidité est limitée. Il existe un risque de devise et de perte en capital. Les revenus ne sont pas garantis. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. *à partir d’une part détenue en pleine propriété ; Sources : Capital, IEIF |
|
|
11 mai, on commence à se préparerEt pour ça, on reprend les bonnes habitudes… un peu oubliées durant le confinement. Selon une étude IFOP parue aujourd'hui, alors que 71% des hommes et 81% des femmes procédaient à une toilette quotidienne complète avant le confinement, ces pourcentages descendent respectivement à 61% (- 10 points) et 74% (-7 points). Pour ce qui est du changement de slip/caleçon/culotte quotidien les pourcentages passent de 73% à 68% chez les hommes et 94% à 91% chez les femmes... |
|
|
|
|