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Si vous avez passé la journée à distance

  • Bruno Le Maire souhaite que "tous les commerces puissent rouvrir le 11 mai" à l'exception des cafés, bars et restaurants et prévient qu'aucune entreprise qui "a son siège fiscal ou des filiales dans un paradis fiscal" ne pourra bénéficier "des aides de trésorerie de l'État"
  • En amont du Conseil européen de cet après-midi, la Commission européenne propose un plan de relance de l'économie européenne de 2 000Mds€
  • Auditionné à l'Assemblée, Jérome Salomon (Dir. Gén. de la Santé) affirme que "le risque de reprise épidémique existe, il faut nous y préparer" et que "les mesures barrières (....) et de distanciation physique et sociale, seront toujours d’actualité au mois de mai et sans doute au mois de juin, cet été et peut-être pour longtemps"
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Jusqu'où ?

Après avoir constaté une "baisse sans précédent de l’activité économique de la zone euro en mars", l'institut Markit publie ce matin ces indices PMI (rappel : >50 ils annoncent la croissance de l'activité, <50, la contraction) : après une chute à 28,9 au mois de mars (déjà un plus bas historique) la France tombe à 11,2 en avril. Dingue. Aux US, on apprend cet après-midi que 4,4M d'Américains supplémentaires se sont inscrits à l'assurance-chômage la semaine dernière...

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C’est (un peu) plus clair

Après la visionconférence organisée ce matin entre Macron et les associations d’élus, on y voit plus clair sur le plan de déconfinement du gouvernement qui devrait être présenté probablement "mardi prochain" : 1) Oubliez le déconfinement régionalisé on parle désormais de "différenciation". Traduction : tout le monde déconfine le 11/05 mais les maires/préfets procéderont à des "adaptations locales et territoriales" ; 2) a priori, pas de mesure pour empêcher le déplacement d’une région à une autre ; 

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Y'en a marre

Aujourd'hui, au moment de choisir le sujet de notre article central… on a craqué. Cela fait 38 jours que l'actualité est en boucle sur le Covid et que -- une fois les polémiques et les avis d'experts autoproclamés retranchés -- les seules deux vraies info sur ce thème sont : 1) Nos économies vont connaître un choc absolument inédit de violence et de profondeur et 2) Le choix général en faveur de la protection de la santé des populations rend le déconfinement complet et définitif impossible en l'absence de traitement/vaccin. C'est absolument tout... et y'en a marre. 

Oui marre, parce qu'on assiste à une saturation complète de l'info par ce seul thème dans des proportions jamais vues. L'Institut National de l'Audiovisuel (INA) a développé un outil d'étude de l'intensité médiatique des sujets d'actu et dès le 25 mars l'INA relevait que "la médiatisation du Covid-19 et de ses conséquences est un phénomène absolument inédit dans l'histoire de l'information télé"

Bien sûr, cela se comprend mais (comme le montre le graphe en tête de cet article), ce qui est vraiment dingue, c'est que cette concentration thématique jamais vue -- à laquelle TTSO n'a pas échappé -- ne s'est pas démentie depuis

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Woodeum : le logement d’un nouveau monde

Si l'on ne sait encore rien du monde d'après, le logement idéal du futur existe lui déjà. Jugez plutôt : dans une résidence écologique en bois massif à l'architecture contemporaine, dessinée par Jean Michel Wilmotte, en plein cœur de l'écoquartier de Rueil-Malmaison, un bel appartement de 80m² doté de larges ouvertures et d'une importante luminosité, une vaste terrasse de plus de 50m² ouvrant sur un superbe parc... Le logement d'une vie. Une vie respectueuse de l'environnement, bas carbone et qui commence maintenant.

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Lire au lit (même confiné/e)

"Je culbutai les robes avec la cruauté d'un ouragan. Ces linges saturés du parfum du désir me faisaient pousser des cris qui secouaient en retour tout son corps. La chair apparut sous ma bouche, beauté, si douce et humectée que deux grosses larmes m'en roulèrent des yeux. J'y plongeai mon visage (...) Ma langue découvrit seule sa mission et le plaisir qu'elle dispense. Il me fallut mieux l'apprendre encore quand deux cuisses brûlantes serrèrent ma nuque à m'étouffer". Jean Bruyère - Roger, ou les à-côtés de l'ombrelle (1926)

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