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Ce qui se passe au UK… est dingue ! Empêtré dans le scandale des fêtes à Downing Street pendant le confinement (work hard on ne sait pas, mais apparemment on play hard chez le PM), Boris Johnson risque un vote de défiance de la part de sa propre majorité le forçant à la démission. Il fait tout pour l’éviter. Mais vraiment tout. Au point qu’aujourd’hui le patron des députés conservateurs (= le groupe de Johnson) dénonce "chantage", "intimidation" voire campagne de calomnie de la part du gouvernement…
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Tremblez GAFAM !Après le DMA (Digital Market Acts, voté le mois dernier) visant à empêcher les pratiques monopolistiques dans le numérique, le Parlement européen vote aujourd’hui le Digital Services Act (DSA). Trois mesures principales : un retrait plus rapide de tous les contenus illicites (du terrorisme aux fake news) des réseaux sociaux, plus de transparence sur leur algorithme et moins de ciblage publicitaire. En cas d’abus : forte amende (10% du CA) voire "interdiction d’opérer" dans l’UE. Ouch.
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L’avenir de l’EuropeLe vote du DSA (cf article précédent) est fondamental. C’est l’exemple parfait de la réussite et de l’échec de l’Europe. Sa réussite d’abord. L’Europe est le plus gros marché d’habitants "riches" au monde (450M vs 330 aux US), elle est en position d’édicter ses règles et d’y faire se plier les deux rivaux Chine et US dont elle est de fait l’enjeu économique extérieur n°1. Le sort du RGPD qui peu à peu devient le cadre de référence pour la protection des données montre bien que ce sont les normes européennes qui s’imposent dans le monde. Si aujourd’hui le couple DMA + DSA est suivi de si près par les GAFAM, c’est qu’il a vocation lui aussi à devenir un standard international (entre l’hyper-contrôle étatique chinois et le laissez-faire libertarien californien). … et signer l’échec de notre continent. Sur les 50 premières capitalisations mondiales de la tech, les entreprises qui feront le XXIe siècle, 88% sont US ou asiatiques, l'Europe ne représente que 3% en valeur ! Absente de la compétition mondiale, l’UE n’est plus qu’un marché dont la puissance se limite à édicter les règles de sa conquête.
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Un bon plan… c’est ce que propose Uber pour tenir son objectif ambitieux de 50% de véhicules électriques sur l’application en France dès 2025 - et de 100% de trajets à zéro émission en 2030 en Europe. Avec son “Plan pour la Mobilité Électrique”, Uber aide financièrement les chauffeurs à abandonner leurs diesels pour s’équiper en véhicules électriques. Concrètement avec ce plan déjà en place, les chauffeurs accumulent 6 centimes/km roulé sur l’application (hors Uber Green) - financés à parts égales par une hausse de prix et par l’entreprise - qu’ils peuvent utiliser quand ils le souhaitent pour acheter une voiture électrique. |
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Lire au lit"Je m'étais approchée de lui ; je posai la main sur son bras, le regardant d'un air langoureux, et me fis insistante jusqu'à ce qu'oublieux de tous ses principes, il se jetât à mes pieds, enserrant mes genoux, m'embrassât les pieds et se fît toujours plus entreprenant. Loin de lui résister, je lui laissai le champ libre ; de son bras droit, il enserra le mien ; sa main gauche se faufila sous ma robe et il approcha son visage du mien" Wilhelmine Schröder-Devrient (traduction de Guillaume Apollinaire & Blaise Cendrars) – Mémoires d’une chanteuse allemande (1868 pour la version originale) |
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En eaux troublesCe soir, sortez votre ciré, Spotify vous emmène en mer ... et pas pour une croisière paisible mais pour rouvrir une enquête. Celle du naufrage du Bugaled Breizh, ce chalutier breton qui avait coulé en 2004 aux larges des côtes anglaises. Un simple accident de pêche ? Pas si sûr : dans le podcast "En eaux troubles", 2 journalistes interrogent les incohérences de l'affaire et reviennent sur ce qu'il s'est réellement passé ce jour-là. Pour y voir plus clair. |
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