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Si vous avez passé la journée dans une grotte

Guerre en Ukraine : la Russie annonce ne pas exclure de frapper les instructeurs français qui seraient déployés sur le terrain

Gaza : le Qatar (médiateur) affirme n’avoir "aucune déclaration des deux côtés (= Israël et Hamas) donnant beaucoup de confiance" dans la possibilité d'obtenir un cessez-le-feu malgré la pression US

Inde : victoire de Narendra Modi (PM depuis 10 ans) aux législatives mais avec un score beaucoup plus faible qu'attendu (son parti n'obtient que 240 sièges vs 303 en 2019, la majorité absolue est à 272)

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Ce qui nous attend

Face à l’hécatombe prévue aux européennes, Emmanuel Macron avait un plan : une alliance avec les LR à l’Assemblée. Et pour conduire cette nouvelle majorité -- absolue celle-ci -- Gérard Larcher ! Crédible ? Le président du Sénat avait déjeuné avec le PR en mars et déclarait encore la semaine dernière vouloir "faire le point" après les européennes dans "l’intérêt du pays". Las ! Larcher annonce finalement cet après-midi "qu’il ne sera pas le PM d’Emmanuel Macron" car il ne "partage pas la même vision du pays".

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"Vous n’en entendrez pas parler"

Chaque année, le World Energy Council (WEC) analyse la production/approvisionnement et distribution d’énergie dans 120 pays dans le monde. Ses 3 critères essentiels : la sécurité, l’équité sociale et la soutenabilité environnementale, ce qu’il appelle le "Trilemme énergétique" (c’est vous dire s’il est facile d’y exceller). Le classement 2023 qui vient de sortir place la France au 6e rang d’excellence (vs 8e l’année dernière) et lui attribue la note de AAAa (la plus haute). Ça change de S&P…

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Ce qui nous attend (bis)

Le site de géopolitique Le grand Continent publie un très étayé dossier (54 pages) sur les "tendances clefs des élections européennes". Ce qu’on en retient :

L’Europe on y tient : après touché un plus bas en 2014 (43%), la participation aux européennes devrait à nouveau progresser dans toute l’UE et approcher les 55%. Surtout, le nombre d’Européens déclarant que leur pays se porterait mieux en dehors de l’UE recule de 2 points vs 2019 (il reste à 28%).

Le paradoxe ? Post 9 juin, la part des "groupes politiques eurosceptiques au Parlement va augmenter" notamment ceux "les plus à droite" … un alignement avec les parlements nationaux où les partis populistes pèsent aujourd’hui 35% des sièges. Cependant, la part des groupes "clairement pro-UE" au Parlement européen devrait rester supérieure à 60%.

Le problème : une coalition de gauche ne "serait plus possible" contrairement aux "majorités de droite" mais la "présence [en leur sein] des éléments les plus radicaux à l’extrême-droite" accroîtra "l’incertitude et potentiellement l’instabilité".

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En partenariat avec Interbev

Besoin d'en parler

Les débats de l’élection européenne l’ont prouvé – s’il en était besoin ! – notre avenir collectif passe par la construction d'une agriculture harmonieuse, intégrée, et durable. Un système circulaire dans lequel le végétal nourrit l’animal et inversement. Le moteur d’externalités positives : sur l’environnement, la captation carbone, la biodiversité, l’économique, le lien social, et nos paysages. L’agriculture de 2024 et du XXIe siècle. Plus que jamais un débat utile.

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La Q de la semaine

Ainsi, nous sommes moins nombreux à penser que nos pays se porteraient mieux sans l’UE que lors du dernier scrutin européen (cf article central). Nos pays c’est une chose, mais nous : percevons-nous les avantages concrets de l’Europe ? Notre Q ce soir : pensez-vous avoir tiré un bénéfice érotique de la construction européenne ? (avant de vous exclamer "tes questions c’est n’importe quoi TTSO !" pensez Erasmus, campeurs hollandais, échanges lycéens, etc.)

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