Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !

Si vous avez passé la journée au balcon

Législatives : Emmanuel Macron dément la possibilité de démissionner en cas d'échec de son parti et envisage de faire "3 interventions par semaine" jusqu'au 1er tour

A droite : face aux appels à la démission (voir plus bas), Eric Ciotti déclare qu'il "reste président des Républicains. Mon mandat, je le tiens des militants et seuls les militants pourront me l’enlever" 

A l'extrême-droite : Marion Maréchal (Reconquête) annonce que le RN a finalement "refusé le principe d'un accord" pour les législatives pour ne pas "être associé avec Eric Zemmour"

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

A gauche

Ça a l’air bien parti : cette nuit, tous les appareils (y compris LFI et Place Publique + PS) se sont mis d’accord pour des candidatures uniques. Mieux, aujourd’hui Manon Aubry annonce un programme de "rupture et de gouvernement" commun (pas le programme de la NUPES, une nouvelle plateforme) "dans les prochaines heures". Mais le plus dur reste à faire : combien de circos pour qui ? Et qui sera le Premier ministre (théorique) désigné. Le PS a déjà dit non pour Mélenchon

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

A droite

C’est l’explosion. Sur TF1, Eric Ciotti (patron des LR) fait sauter toutes les digues posées par son parti depuis 40 ans en réclamant une alliance avec le RN pour "donner une alternative au pays" (selon Paris Match, LR demanderait "une centaine" de circos au RN pour conserver un groupe à l’Assemblée). Mais si Ciotti déclare "ouvrir la voie" (il revendique le soutien de "dizaines de parlementaires") en réponse à une France qui "attend la droite", chez LR il fait l'unanimité (des cadres) ... contre lui.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

Au centre

C’est pas la joie. Gabriel Attal – muet depuis 2 jours – se sent obligé de rappeler aux députés Renaissance que "la messe n’est pas dite" et Emmanuel Macron a, lui aussi, besoin de préciser au Figaro qu’il y "va pour gagner". Mais au-delà des rodomontades, le camp présidentiel a-t-il vraiment une chance ?

Oui et ça s’est même éclairci aujourd’hui. La raison : l’organisation des blocs de droite et de gauche autour de leurs éléments les plus radicaux (RN/LFI) ouvre un espace inespéré au centre.

Or, aux dernières européennes, 22% des électeurs du PS disent avoir hésité avec Renaissance, le parti macronien (Ipsos). Et selon le Harris Interactive du jour, 32% des partisans PS déclarent qu’ils ne voteront pas pour un candidat de la gauche unie mais soutiendront des candidats dissidents.

Mais le boulevard s’ouvre surtout à droite. Alors qu’aux européennes, 1/3 des électeurs de Bellamy ont hésité avec Valérie Hayer (Ipsos), LR explose. Même faite d’hésitants, une majorité reste une majorité.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

En partenariat avec Coffignon

COF-FI-GNON

Depuis 1928, ces trois syllabes sont celles d’un pouvoir et d’une séduction qui ne ressemblent à aucun autre. Opticien et lunetier à Paris, COFFIGNON a habillé – sur mesure – les regards du Général de Gaulle, de François Mitterrand, de Brigitte Bardot ou de Johnny. Chaque paire de lunettes est réalisée dans les matériaux les plus nobles et exprime la singularité de son/sa propriétaire. Des lunettes qui sont enfin ce qu’elles devraient être : un objet précieux, unique et durable. En trois syllabes.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

La Q de la semaine

On vous avait prévenu dès hier, aussi c’est sans plus attendre que nous vous posons la seule question qui compte (et à laquelle Eric Ciotti a répondu) : coucheriez-vous avec un électeur/trice RN ? Et (mais pas en même temps) LFI ?

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn