Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !

Si vous avez passé la journée dans le déni

Guerre commerciale : sur son réseau social, Trump affirme qu'il ne "changera jamais de politique" et que la Chine commence à "paniquer" (voir sujet suivant)

Réplique : Eric Lombard (Min. Economie) annonce une "riposte proportionnée de l'UE" qui ne doit pas avoir "d'effet négatif" en Europe mais qui pourrait aller "au-delà des droits de douane"

Justice : 64% des Français refusent la suppression de l'exécution provisoire - évoquée par Bayrou - pour les élus condamnés en première instance par la justice (sondage Ifop/Ouest-France)

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Et sur ce, bon week-end

Le pire scénario se confirme donc : celui d’une guerre commerciale mondiale. Sans attendre l’UE, la Chine décide de répliquer la première en annonçant cet après-midi des droits de douane de 34% sur l’intégralité de ses importations US. Dans la foulée, les marchés continuent leur effondrement avec -4% pour la bourse US, -5% pour le CAC40 et DAX allemand et JP Morgan prévient que le risque d’une récession mondiale est désormais de 60%. On n’avait pas connu ça (hors Covid) depuis plus de 15 ans. Merci Donald.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Le Fiorentino de la semaine : C'est le proprio

"Les résultats d'une étude de l'INSEE vont sûrement provoquer un alourdissement de la fiscalité sur les résidences secondaires. On y découvre une forte concentration de la propriété dans l'immobilier résidentiel. 35% des propriétaires ont au moins 2 biens immobiliers et ces multipropriétaires détiennent 65% de l'immobilier résidentiel privé.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

En avril, on va au théâtre

On va réchauffer notre mélancolie américaine avec Pub Royal une comédie musicale venue de notre chère Amérique francophone : le Québec. La rencontre artistique de l’éblouissante compagnie circassienne Les 7 doigts de la main et des chansons du plus célèbre groupe de la belle province, les Cowboys fringants, donne un show total, festif et bouleversant. Cœur serré et expérience galvanisante garantis. À défaut, on partage avec vous notre fav track des Cowboys : L’Amérique pleure.

Après avoir admiré le grand comédien François Marthouret dans Le Misanthrope le mois dernier, on se précipite pour l’entendre interpréter la voix de Fernando Pessoa et de son Livre de l’intranquillité. Refréquenter l’extraordinaire clairvoyance poétique de ce journal intime imaginé et écrit comme celui de Bernardo Soares, employé de bureau à Lisbonne, va nous faire un bien fou.

On anticipe sur l’agenda de juin et on réserve nos places pour Article 353 du Code pénal. Donné à guichets fermés en janvier, le Théâtre du Rond-Point le propose à nouveau et, rebelote, il n’y aura pas de place pour tout le monde. Cette pièce figure tout en haut de la liste de nos spectacles préférés de la saison. L’adaptation du roman de Tanguy Viel, la mise en scène d’Emmanuel Noblet et l’interprétation de Vincent Garanger sont exceptionnelles. Cela vaut d’ailleurs à ce dernier une nomination aux Molières.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

La bande son du week-end : The Tubs - Cotton Crown

C’est officiel, vous aurez lu au moins une bonne nouvelle cette semaine : Punk Is Not Dead ! En vous baladant sur les 9 titres de cet album (29 minutes d’écoute, alléluia pour les disques courts !) vous vous écrierez successivement The Clash ! The Jam ! The Smiths ! voire The Sex Pistols ! Oui, oui, on sait, The Jam et Les Smiths ne sont pas -- à proprement parler -- des références punk, mais, pas plus que The Tubs ne mégotent sur leur énergie, ne pinaillons pas sur des détails de puristes ! Let’s pogo !

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Le film du dimanche soir : Kaboom - Gregg Araki (2010)

De ce film inconnu de nous, voilà ce que nous disent nos copains de FILMO : "Smith et Stella, deux jeunes étudiants errent dans les couloirs d’un campus américain, en quête de nouvelles histoires d’amour ou d’aventures sexuelles. Rendant hommage à son maître, David Lynch, le cinéaste underground Gregg Araki signe une ode décomplexée aux plaisirs du corps". On ne sait pas vous, mais nous on va avoir du mal à attendre dimanche soir pour appuyer sur play.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn