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Historique (sauf pour Amazon)Donc samedi les ministres des Finances du G7 se sont accordés sur LA mère de toutes les réformes : une fiscalité obligeant les multinationales – à commencer par les GAFA – à payer un impôt minimal dans les pays dans lesquels elles opèrent. Lundi (= aujourd’hui), on s’aperçoit que l’accord conclu, qui exclut de son spectre les boîtes faisant moins de 10% de bénéfice… épargnerait Amazon, l’un des plus gros "optimiseurs" fiscaux mondiaux, qui n’affiche que 6% de bénef' en 2020. C’est balot. |
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Toujours aussi sexyEY publie ce matin son baromètre de l’attractivité en Europe et -- guess what -- malgré la crise et ses -8% de croissance, la France a conservé sa 1ère place acquise l’an dernier avec 985 décisions d'investissements étrangers recensés en 2020, devant le UK (975) et l’Allemagne (930). Certes, l’attractivité de la France a plus souffert que les autres avec -18% de projets annoncés vs -13% en moyenne dans les autres pays européens mais elle a tenu. Bravo ! |
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"Bravo" donc ?Ainsi la France serait non seulement sexy mais aussi un modèle pour le monde ? Euh… restons calmes. La lecture du rapport annuel Transatlantic Trends qui sonde l’opinion de 11 pays (8 principaux européens dont UK + US, Canada & Turquie) invite à rester humble. Pour 60% des répondants (tous pays confondus) l’Allemagne est le pays le plus influent d’Europe, pour 19% c’est le UK et pour seulement 7% c’est la France. Sexy… mais faible… … d’autant plus faible que l’ensemble auquel nous appartenons (l’UE) est lui aussi distancé : 62% des répondants placent les US comme l’acteur international le plus influent, 20% la Chine et 14% l’UE. Des opinions qui ne reposent sur rien de concret ? Euh… reprenons les chiffres lus dans The Economist de cette semaine que publiait notre copain Fiorentino ce matin :
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Les mots du sexe selon MaïaS : comme Sex On The Beach Avouez-le, le soleil brille, il fait chaud et on n’aurait rien contre… un cocktail dont l’amie Maïa nous rappelle qu’il est composé de "vodka + schnaps pêche + orange + canneberge + doliprane", ou une application plus littérale du programme esquissé par le nom de ce mélange. Maïa (again) nous l’apprend : faire l’amour sur la plage, c’est LE fantasme des Français "un quart d’entre nous aurait déjà essayé et au moins deux tiers se laisseraient tenter"… |
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