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Si vous avez passé la journée en novembre

Matignon : Emmanuel Macron choisit Michel Barnier comme nouveau Premier ministre (73 ans, LR, ex négociateur de l'UE pour le Brexit et ministre de Balladur, Chirac et Sarkozy)

Soutien : Laurent Wauquiez (LR) salue la nomination d'un "homme de grande qualité", Renaissance déclare ne pas donner "de chèque en blanc" à Michel Barnier, le RN annonce vouloir attendre le discours de politique générale pour arrêter sa position 

Censure : les partis du Front Populaire appellent à voter la censure du gouvernement Barnier, Lucie Castets dénonce les "idées réactionnaires" du nouveau PM

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A défaut de rêver

Le PR donc trouvé un dénominateur commun. Les atouts de Barnier : 1) Pas franchement connu pour la force de ses convictions, le nouveau PM est Macron/réforme des retraites compatible, ça n’était pas le cas de Cazeneuve, 2) Contrairement à Bertrand, il ne fera pas l’objet d’une censure immédiate de l'extrême-droite, Marine Le Pen louant sa capacité à "s’adresser au RN", 3) LR (dont est issu Barnier) + les macronistes = 213 députés soit un bloc plus important que le Front Populaire (193).

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60 jours après les législatives…

On en arrive donc à confier : 1) l‘exécutif à un attelage composé des deux partis/ensembles les plus sanctionnés par les électeurs (-25% de députés pour LR, -33% pour les macronistes), 2) le pouvoir ultime au parti contre lequel les électeurs se sont mobilisés au 2nd tour pour l'écarter des affaires : le RN va décider de la durée de vie du futur gouvernement et conditionnera sa longévité à l’adoption par ce dernier des mesures qui permettront

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On l’avait pourtant !

Ou plutôt vous l’aviez ! Qui donc ? Mais le Premier ministre idéal pardi !

Il suffisait pour ça de lire le baromètre de "cote d’avenir" des personnalités politiques du Figaro Magazine publié aujourd’hui. A la question "voulez-vous voir (cette personne) jouer un rôle important dans les mois et les années à venir ?", un homme se détachait… mieux un consensus transpartisan semblait se dessiner. Jugez plutôt.

Un nom arrivait en premier de la cote d’avenir au classement général (41% des Français souhaitaient le voir aux manettes à l’avenir, le faisant détrôner Edouard Philippe, le favori jusqu’alors). Mais ça n’est pas tout…

… ce même nom réussissait l’exploit de "bénéficier d'une excellente cote auprès des sympathisants du centre (63 %), mais aussi de ceux de droite (61 %) (tout en étant) bien apprécié par ceux de gauche (44 %) (tout en étant – bis) pas rejeté en masse par l’extrême-droite (36 % de cote d’avenir)" (Le Figaro).

Le nom de cette solution évidente ? Gabriel Attal !

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Lire au lit

"Elle remonte prestement tout le corps de Jean pour se retrouver à l’aplomb de sa bouche et lui tendre sa vulve, ses longues lèvres verticales se penchent sur les larges lèvres de l’homme pour les croiser de leur baiser. La langue mâle qui divise les lèvres qui la provoquent est si experte et endurante qu’elle pourrait être un phallus. Elle avance entre les muqueuses d’Emmanuelle…"

Emmanuelle Arsan – Les soleils d’Emmanuelle (1988)

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