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Si vous avez passé la journée sur les réseaux

Gaza : le Hamas rend 4 dépouilles d'otages à Israël (dont la famille Bibas), l'ONU dénonce une mise en scène "abjecte et cruelle" (NDLR : 6 otages vivants doivent être libérés samedi)

Ukraine : le FT rapporte que Donald Trump s'oppose à ce que la Russie soit qualifiée "d'agresseur" dans le prochain communiqué du G7 qui doit être publié le 24 février (= 3e anniversaire de l'invasion russe)

Ecologie : les députés adoptent une loi interdisant dès 2026 l'usage des "polluants éternels" (= PFAS) dans le textile d'habillement et les cosmétiques

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Le constat

La Cour des Comptes publie son rapport sur les retraites. Ses conclusions : 1) Contrairement à ce que disait Bayrou, il n’y a pas de "déficit caché" lié à l’équilibre des retraites des fonctionnaires. 2) Après un excédent de 8,5Mds€ en 2023 le déficit des régimes de retraite va plonger rapidement : 6,6Mds€ cette année puis 15Mds€ en 2035 et "autour de 30Mds€" en 2045. Des chiffres "préoccupants" qui témoignent d’une "dégradation financière nette, rapide et croissante".

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Stupid !

Certes ça n’est pas l’effondrement, mais le dernier sondage Reuters/Ipsos montre que -- chez les Américains -- la cote de popularité de Trump commence à s’effriter. Son taux d’approbation a perdu 3 points depuis son retour à la Maison Blanche (47% à 44%) tandis que la proportion de citoyens désapprouvant son action montait plus spectaculairement : +10 points (41% à 51%). Principal reproche : l’économie, 53% des Américains pensent désormais que leur pays est sur la mauvaise voie.

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C’est reparti

Sur les retraites, l’idée de Bayrou était donc de faire établir un constat chiffré "le plus indiscutable possible" qui mette chacun devant l’urgence du gouffre financier. Euh, petit tour des réactions syndicales post lecture du rapport de la Cour des Comptes.

Réaction de la CGT (Sophie Binet) : c’est "un démenti cinglant aux chiffres farfelus" (de Bayrou) qui renforce le syndicat dans son objectif "d'abroger cette réforme injuste et violente et de revenir aux 62 ans, et ensuite aux 60 ans". Ce qui -- d’après la CGT -- coûterait autour de "10Mds€/an" soit un montant "soutenable".

Du côté de la CFDT (Marylise Léon) : "la situation n’est pas catastrophique", le "problème n’est pas les dépenses mais les recettes" et il faut un "bougé sur l’âge légal" (= abandon des 64 ans de la réforme Borne)

Chez les cadres de la CFE-CGC (François Homméril) : "les problèmes ne sont pas insurmontables" et même il n’y a "pas de problème de financement" tout ça n’étant qu’une "question de la productivité ou de taux d’emploi".

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Lire au lit (ou au Conseil Constitutionnel)

"Fabius s’agenouille devant moi pour parcourir de ses mains et de sa bouche mes jambes bottées ; il en mordille bientôt la chair, sous la finesse du cuir. Il palpe longuement le pied, avant de le presser, avec une vigueur inattendue, entre ses cuisses, jusqu’à ce que je sente tout l’effet que lui produit ce contact. Il me prodigue en même temps des caresses extrêmement précises, qui sont de nature à me faire parvenir au point où il en est…"

Denyse Beaulieu - "Ma nuit avec Laurent Fabius" (in Mes Nuits avec… - 1988)

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