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Si vous avez passé la journée en callUkraine : Steve Witkoff (envoyé spécial de Trump en Russie) dit espérer un "cessez-le-feu total (...) d’ici quelques semaines" après une "probable" rencontre Trump-Poutine (voir sujet suivant) Gaza : le Hamas affirme que les bombardements israéliens ont fait 970 morts depuis lundi, Israël annonce lancer des "opérations terrestres ciblées" US : le chief justice Roberts (président de la Cour Suprême) rappelle à Trump que "l’impeachment (= destitution) de juges n’est pas une réponse appropriée pour des désaccords concernant une décision judiciaire" |
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Vous aimez New York ? Trump n'est pas d'accord avec vous et Laurence Nardon vous explique pourquoi → |
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Moitié moinsCet après-midi, Trump a donc passé 1h au téléphone avec Zelensky (moitié moins de ce qu’il a passé avec Poutine hier). Son debrief : "a very good call". La conversation "a essentiellement tourné autour de l’appel hier avec le Président Poutine, de manière à aligner les requêtes et les besoins de la Russie avec ceux de l’Ukraine. Nous sommes vraiment sur la bonne voie". Dans la mesure où Poutine n’a rien cédé hier, on voit à peu près ce que la "bonne voie" veut dire pour l’Ukraine...
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Quelques doutesC’était donc la méthode Bayrou, ne pas trancher mais laisser les partenaires sociaux bosser pour arriver à une solution d’équilibre sur les retraites. On avait quelques doutes au départ, mais là c’est clair : après FO et l’U2P, c’est au tour de la CGT de partir (on attend la confirmation ce soir), la CFDT déclarant, elle, que "le conclave tel qu’il est conçu est terminé" et le Medef fermant le banc en professant qu’on "ne tiendra pas 11 séances (ce qui est au calendrier, NDLR) à jouer à cache-cache".
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La présence, la vraieL’évaluation des futurs leaders repose parfois, on l’a vu, sur des qualités floues, comme le "charisme" ou la "présence". Mais elle pâtit aussi d’un problème plus basique : ces qualités, il faut les évaluer. Or ces jugements ne sont pas exempts de biais qui nuisent à la diversité. Et l’un de ces biais, c’est tout simplement le temps de contact face-à-face. En mesurant le temps de contact managers-employés, une étude conduite dans une banque a ainsi conclu que la différence de "face time" explique à elle seule le tiers de l’écart de promotions entre hommes et femmes. D’ailleurs, de même que les hommes promeuvent plus d’hommes, les fumeurs promeuvent plus de fumeurs : rien de tel que la clope ensemble devant l’entrée pour faire avancer sa carrière ! Quand votre patron évalue votre "présence", il est hélas bien possible que ce soit littéralement vrai. Le problème, bien sûr, c’est qu’il nierait vigoureusement tout biais en faveur de ceux qui fayotent le plus assidûment… On n’en sortira donc pas sans changer la manière dont les promotions se décident. Les obstacles à la diversité ne sont pas ceux que vous croyez ! Tous les mercredis, Olivier Sibony (prof de stratégie à HEC Paris, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.
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| En collaboration commerciale avec KPMG |
Progrès ou illusion ?Avec l'IA qui s'impose partout (entreprises, éducation, création artistique, ...), se pose aujourd'hui une question aussi passionnante que vertigineuse : si tout devient "intelligent", la notion de progrès -- fondamentale dans l'évolution humaine -- devient-elle caduque ? En clair : à l'heure de l'hybridation entre IA et humains, assiste-t-on à une véritable avancée ou à une redéfinition du progrès sous l’angle de la convergence des intelligences ? Pour y répondre, |
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Notre contribution au Sibony : Fesse TimeAinsi donc le secret de la promotion tiendrait dans le nombre d’heures passées avec son/sa boss (cf 30 Second MBA plus haut). Il va falloir faire des efforts. Selon un sondage Ifop de 2018, un/e Français/e sur trois a déjà fricoté avec une relation de travail, c’est évidemment un face time (enfin en toute rigueur pour ce qui est du "face" ça dépend de la position) propre à faire progresser des carrières. Oui mais voilà : seuls 4% d’entre nous couchons avec notre boss direct/e
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