Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !
Si vous avez passé la journée à encaisser
|
|
|
Pas complètement rendus… sur cette histoire d’Ukraine. D’abord, comme les US hier, l’OTAN dit ne constater "aucune désescalade sur le terrain à ce stade, mais au contraire un renforcement de la présence militaire russe" et ajoute "nous nous préparons au pire". Mais surtout Le Monde révèle un détail "passé relativement inaperçu" mais potentiellement bien inflammatoire : le nouveau projet de constitution biélorusse (pays aligné sur Moscou et frontalier à la fois de la Russie, de l’Ukraine, et de la Pologne donc de l’OTAN)…
|
|
|
On peut aussi le voir comme çaParmi les motifs de soulagement en Europe, la déclaration aujourd'hui de Von der Leyen (patronne de la Commission) qui assure que l’UE est en capacité de "se passer du gaz russe cet hiver". La raison de cette indépendance nouvelle ? Le re-routage d’une partie de nos importations vers les US qui représentent maintenant presque 50% de nos livraisons de Gaz Naturel Liquéfié (GNL). A tout prendre, mieux vaut dépendre d’un allié… bien sûr, mais…
|
|
|
|
|
|
|
|
Le bonheur des uns fait les erreurs des autresPourquoi lit-on des success stories de business ? Pour y trouver l’inspiration, voire les secrets du succès : l’ambition d’Elon Musk, la vision de Phil Knight, ou les principes de Ray Dalio. Et bien sûr, on se pense capable de faire la différence entre ce qui compte vraiment et ce qui n’est qu’un détail (chez Steve Jobs, la créativité, pas le pull-over noir). Mais est-ce vrai ? Pour le vérifier, cinq chercheurs ont soumis à des volontaires une série d’histoires de start-ups, en faisant varier une caractéristique du fondateur : il était présenté soit comme un college dropout ayant abandonné la fac (façon Bill Gates ou Marc Zuckerberg), soit comme diplômé (comme beaucoup d’autres). Résultat : les sujets conviennent volontiers que l’histoire qu’ils ont lue n’est qu’un exemple, et qu’ils ne devraient pas en tirer de conclusions générales. Mais si on leur demande ensuite de faire des choix d’investissement, ils privilégient nettement les sociétés dont les fondateurs présentent la même caractéristique (dropout ou diplômé) que dans la success story présentée ! Bref, même si l’on sait qu’une histoire est biaisée, elle nous influence quand même… C’est pour cela qu’il faut se méfier des belles histoires ! Tous les mercredis, Olivier Sibony (prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t. |
|
|
|
Le sexe fait-il voter ?Ou en tout cas voter dans le même sens ? En 2017, une étude Ifop nous éclairait sur cette question d’importance quinquennale. Le constat de base : les 3/4 des personnes en couple se disent du "même bord politique" que leur conjoint… mais cette identité d’opinion n’est-elle pas précisément une des raisons de convoler ? 85% des époux/partenaires partageaient déjà les mêmes options politiques avant la mise en couple, et seuls 7% se sont rapprochés des opinions de leur conjoint depuis.
|
|
|
|
|