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Feel good newsTiens, une bonne nouvelle. L’ONU publie aujourd’hui son "World Happiness Report", un classement annuel des pays les plus heureux du monde basé sur plusieurs indicateurs (sondages mais aussi PIB/hab, espérance de vie en bonne santé, niveau de corruption, ...) et guess what, c’est en Europe que le bonheur est au plus haut. Oui oui, sur les pays du top 20, 16 sont européens, majoritairement au Nord (1er Finlande, 2e Danemark et 3e Islande). Et la France ? 20e, son meilleur classement ever. Une bonne nouvelle.
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Le Fiorentino de la semaine : Blackrock"Blackrock est un géant gérant (jeu de mots) de fonds. Tellement gros qu'on n'arrive même pas à imaginer ce que ça représente. Ils gèrent 10 000Mds$. A titre de comparaison la France a un PIB en 2021 de 2 483Mds€ (environ 2 800Mds$). Et les États-Unis 22 000Mds$. Alors Blackrock investit partout. Et bien sûr en Russie. Ils ont 17Mds$ investis en Russie. ET donc une grosse claque. Leur fonds indiciel sur la Russie valait 600M$ fin 2021, il vaut aujourd'hui...moins d'1M$. Ouch". |
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La 2 Do du week-endCe week-end, on ne va voir qu’une seule personne. Romy. Samedi, c’est bien entendu haletants que nous nous présenterons devant les portes de la Cinémathèque qui depuis mercredi (et jusqu'au 31 juillet) consacre une rétrospective, LA rétrospective, à Romy Schneider. Nous vous avons cent fois confessé notre amour et notre admiration, que rien n’approche, à l’égard de cette femme stellaire et tragique. Son pouvoir à notre égard est si grand, qu’en 10 ans de TTSO (!), c’est elle qui a inspiré notre texte le plus personnel et celui que nous considérons comme le plus réussi : cette 2 Do (La Cinémathèque déjà !). Samedi c’est donc – une fois encore – le cœur à vif que nous irons sacrifier au culte de cet être disparu il y a 40 ans et qui, tous les jours, éclaire nos joies comme notre douleur. Dimanche, nous redescendrons en intensité (et -- rassurez-vous -- en lyrisme aussi !), nous lirons le très beau livre que Luc Larriba vient de consacrer à la Piscine. Soyons clairs, contrairement à Monsieur Larriba (excellent journaliste et critique) nous sommes loin de considérer cette oeuvre de Jacques Deray (sortie en 1969) comme un chef d’œuvre toutes catégories confondues. Mais nous avons des yeux et cela suffit à tout un chacun pour comprendre que ce film est une des plus grandes réussites esthétiques de l’histoire. Et quand cette esthétique repose sur Romy+Alain définitivement débarrassés des restes de l’adolescence et atteignant un niveau de beauté proprement inhumain (+ bien sûr Maurice & Jane, sulfure père et fille), évidemment on touche – finalement, et quelles que soient les faiblesses annexes du film – au chef d’œuvre. Dimanche, refermant ces pages superbes (quelle icono !), nous donnerons raison à Monsieur Larriba.
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C’est vendredi et ELLE l’a bien méritéUne des raisons qui nous feront doubler le pas samedi matin sur le chemin de la Cinémathèque (cf 2 Do), c’est la bande-annonce de la rétrospective. Si nous ne doutons pas de la sûreté de l’œil de cette institution gardienne de la mémoire du cinéma, nous ne jurerions pas de sa prédisposition à l’érotisme. Le choix des plans sélectionnés pour résumer la carrière de notre déesse, heureusement, balaye tous nos soupçons de pudibonderie. Et laisse apparaître Romy dans sa force brute. Enjoy ;)
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La bande-son du week-end : La chanson d’HélèneIl serait exagéré de dire que nous vouons à Rebecca Manzoni un culte d’une égale intensité, ou même comparable à celui que nous avons pour Romy, mais disons-le, une nouvelle fois tout net, nous considérons cette journaliste comme la voix la plus intelligente, le cœur le plus pur et les oreilles les plus sensibles de la radio française. Aussi ce week-end c’est avec délectation que nous réécouterons le petit Tube N' Co qu’elle a consacré la semaine dernière à cette "Chanson d’Hélène" qui jamais n’illustra Les Choses de la Vie.
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Le podcast du week-end : Initials S.GUn hommage peut en cacher un autre et comme chaque année, ce 4 mars, on a pensé à Gainsbourg. Mais cette fois, l'hommage a duré un peu plus longtemps : on a écouté "Initials S.G" sur Spotify, le récit biographique de cet artiste adoré raconté par le non moins génial Melvil Poupaud. 6 épisodes (" les années mercenaires", "les années heureuses", ...) qui racontent minutieusement la transformation de Lucien en Gainsbarre. L'histoire d'une légende dont "les jours étaient comptés"... |
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