Recevez le smart email du soir. C’est gratuit !

Si vous avez passé la journée au calme

Santé : Geneviève Darrieussecq (min. Santé) prévient que le "cadre général" de l'Aide Médicale d'Etat (AME) accordée aux étrangers en situation irrégulière ne "changera pas"

Doliprane : les syndicats de Sanofi appellent à "une grève illimitée" à partir de jeudi pour protester contre la vente de la filière Opella (qui produit le Dopliprane, l'Aspegic ou le Maalox) à un fonds US  

Ville de dingues : après la mort d'un cycliste écrasé volontairement par un automobiliste à Paris, Ian Brossat (sénateur PCF de Paris) appelle à "interdire la vente de SUV" en France

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Et de trois

Après Haut Conseil des Finances Publiques jeudi dernier, l’agence de notation financière Fitch le lendemain, c’est au tour de l’OFCE (labo d’éco de SciencesPo) d’émettre de sérieux doutes sur la capacité du gouvernement à ramener budget et dette sur une trajectoire soutenable. L’argument central (repris par les trois instances) : l’effet récessif de l’austérité est sous-estimé. Selon l’OFCE, les mesures budgétaires annoncées aboutiraient à la division par 2 de la croissance française en 2025…

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Une nouvelle ère

"Nous avons connu l’ère du charbon, l’ère du pétrole et nous entrons maintenant à grande vitesse dans l’ère de l’électricité" déclare le patron de l’Agence Internationale de l’énergie (AIE) qui publie son rapport annuel aujourd’hui. L’AIE annonce que le pic de demande de toutes les énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon) sera atteint "d’ici la fin de la décennie"… et que, entre énergie nucléaire, solaire et éolien, "les sources d’énergies à faibles émissions…

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

 

Le changement, c’est maintenant

Nous avons tendance à imiter ce que fait la majorité des gens autour de nous : c’est l’effet de la norme sociale. Et son effet est parfois pervers : quand on suggère qu’un "mauvais" comportement (fraude, incivisme, etc.) est trop répandu, on le normalise au lieu de le décourager.

Comment, alors, promouvoir des comportements encore minoritaires, notamment dans le cadre de la transition écologique ? En créant une norme autour du film plutôt que de la photo. C’est l’idée des normes dynamiques ou "en tendance".

Par exemple, quand on explique à des Américains que "de plus en plus de gens réduisent leur consommation de viande", même s’ils restent ultra-minoritaires, plus de personnes envisagent de faire de même (dans une expérience de terrain, ils sont même 2x plus nombreux à passer une commande sans viande). Idem quand, pour réduire la consommation d’eau, on indique que "de plus en plus de personnes attendent d’avoir une machine pleine pour faire une lessive".

Pour exploiter la puissance de la norme sociale, il n’est donc pas nécessaire qu’un comportement soit répandu. Il peut suffire d’expliquer qu’il émerge. Bonne nouvelle pour la planète… ou pour votre nouveau produit encore balbutiant.

Tous les mercredis, Olivier Sibony (prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

 

En collaboration commerciale avec Google

L’IA fait son cinéma

De la pré-production à la post-production, l'IA s'intègre désormais à toutes les étapes de la création cinématographique, des effets spéciaux au doublage, en passant par la restauration de films. L'IA ouvre également de nouvelles perspectives pour la diffusion des films français à l'international grâce à des outils de traduction et de sous-titrage innovants. "Dans ce contexte, l’adoption de l’IA doit se faire de manière progressive 

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn

Notre contribution au Sibony : Ça attendra

N’en déplaise à Sibony (cf 30s MBA), il y a des domaines où le changement ce n’est pas du tout pour maintenant. Alors que la France serait rentrée en "sex recession", un sondage Harris nous renseigne sur notre aversion à la nouveauté en la matière. 73% des Français définissent leur sexualité comme "classique" (le terme le plus évoqué, loin devant "diversifiée" ou "libérée") et 70% estiment que leurs "désirs sexuels/fantasmes" sont moins ou pas plus "audacieux que la moyenne".

Partager sur Facebook WhatsApp Twitter LinkedIn