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Si vous avez passé la journée à toucher

Retraites : Emmanuel Macron accuse la gauche de "proférer mensonges et contrevérités", Olivier Véran dit "espérer que l'expression populaire (= les manifestations prévues demain) ne se transformera pas en blocages"

Guerre en Ukraine : Poutine déclare n'avoir "aucune doute" sur la victoire finale de la Russie, la Commission européenne demande aux 27 de fournir à l'Ukraine "tout le matériel dont elle a besoin" (= y compris des chars lourds)

Tech : Microsoft annonce à son tour la suppression de 10 000 postes d'ici fin 2023 soit près de 5% de ses effectifs 

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Les coupures ? Quelles coupures ?

Rappelez-vous, c’était la "grand-peur" de l’automne : la France allait connaître des épisodes de blackouts électriques en cas d’hiver rigoureux. Tout le monde l’anticipait : le gouvernement, Enedis ou encore les distributeurs européens d’électricité. Il n’en sera rien ! Merci l’hiver ultra-doux et un "mélange de sobriété choisie et subie" qui ont permis une baisse de la conso d’électricité de 8,5% cette année. Résultat : le risque de coupure est désormais "derrière nous" selon le patron de RTE.

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Le prix du mensonge

C’est celui que réclame aujourd’hui Antonio Guterres (Sec. Gén. ONU) aux "géants pétroliers" qu’il accuse d’avoir "colporté le grand mensonge". En clair : avoir nié la réalité du changement climatique alors qu’ils savaient depuis "les années 70" que le pétrole allait "faire brûler la planète". Et comme pour l’industrie du tabac qui avait dû payer 250Mds$ aux US pour indemniser les fumeurs malades, Guterres réclame que "les responsables (des groupes pétroliers)" soient "poursuivis".

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C’est vite vu

C’est une tarte à la crème : nous disposons désormais d’une quantité quasi-infinie d’informations. Et, croit-on, nous en voulons toujours plus – au risque, même, de ne jamais décider (la fameuse "analysis paralysis").

Pour tester cette hypothèse, quelque 2000 volontaires ont participé à des expériences où l’info s’accumule jusqu’à ce qu’ils estiment en avoir assez pour trancher. Par exemple : "avez-vous vu assez de ces peintures pour juger si vous aimez l’artiste ou non ?" ; "avez-vous lu assez de réponses écrites de ce candidat pour décider ou non de le recruter" ; et même "avez-vous passé assez de temps avec cette personne pour lui proposer le mariage" !

La conclusion, dans tous les cas : pour se faire une opinion, il faut moins d’informations qu’on ne le pensait a priori. Nous jugeons plus vite et sur la base de moins de données que nous ne l’imaginions. Ainsi, les recruteurs lisent deux fois moins de réponses qu’ils ne le croyaient – et que les candidats ne l’imaginent…

Conclusion : pour mieux exploiter l’info disponible, avant de décider, ra-len-tis-sez. Et comme les autres ne suivront pas ce conseil… faites une bonne première impression !

Tous les mercredis, Olivier Sibony (prof de stratégie à HEC, London Business School, Oxford) nous explique un concept de management. Sans bullsh*t.

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Notre contribution au Sibony : concentrez-vous sur l’essentiel !

Quitte à se satisfaire de peu d’infos, concentrons-nous sur les bonnes ! Le Sun a fait le tour des signes dont des études ont prouvé qu'ils indiquaient une compétence (ou incompétence) sexuelle chez l’homme. On vous laisse les découvrir, mais on en retient deux : 1) selon les graphologues un "y" écrit avec une longue queue et une boucle large dénote un grand appétit sexuel et de la créativité au lit. Avant d'aller plus loin, faites-lui écrire "Enjoy".

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